Titre

La Gloire de Rome

Auteur Carl Chudyk  
Éditeur Filosofia  
Année 2005
Joueurs 2 à 5
Public ados, adultes
Durée 1 h 15
Caractéristique cartes
Mécanismes amélioration de tableau, collecte
Thèmes Antiquité, Italie, Rome antique, urbanisme, construction
Emplacement étagères du rayon G
Swiss Gamers Award 1er Prix 2011
Règle du jeu
Vidéorègle
Résumé
Ressources


Le jeu sur
BDML


Le jeu sur
BoardGameGeek


Galerie photos sur
BoardGameGeek


Le jeu sur
Jedisjeux


Le jeu sur
Laurent Journaux


Le jeu sur
Myludo


Le jeu sur
Jeux de NIM


Le jeu sur
Tric Trac


Le jeu sur
Vin d’jeu
                 

La Gloire de Rome est la réédition, en 2011 et en français, d'un titre publié très confidentiellement aux États-Unis en 2005.

Ses mécanismes font un peu penser à ceux de Race for the Galaxy ou de San Juan. Les cartes ont des fonctions multiples : matériau, rôle, valeur et bâtiment.

On est un peu désarçonné au début, mais la règle est très claire. De fait, on n'a plus besoin de s'y référer après les premières parties.

Les diverses façons de terminer le jeu sont un peu surprenantes. Il existe même des cartes qui l'arrêtent brutalement. La règle les signale cependant clairement.

Un intérêt important de La Gloire de Rome, c'est qu'il est bien adapté quel que soit le nombre de joueurs. Au-dessus de cinq, il vous faudra cependant plusieurs boîtes et plusieurs tables ! Attention : La Gloire de Rome fait partie de ces jeux où l'expérience compte. Il sera donc plus adapté aux joueurs chevronnés qu'aux joueurs occasionnels. Même si la règle n'est pas aussi compliquée qu'elle ne le paraît, une connaissance de certaines combinaisons peut se révéler primordiale.

Une extension indispensable

Dans La Gloire de Rome, il y a sept pions : six qui ne servent pratiquement à rien et un septième qui est indispensable mais tout blanc, petit et moche.


Les joutes sont arbitrées par le légionnaire Caius Acheteopus.

Heureusement, sur un vide-greniers à côté de chez moi, j'ai enfin trouvé un pion adéquat pour signaler le premier joueur. Je suis sûr que ce pion va ravir mon ami Bruce !

                 

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François Haffner
11 septembre 2011